Lundi, nous publiions la vidéo d’un mari qui s’était filmé en train de faire la vaisselle.
C’était là un prétexte pour rappeler aux époux qu’il est de leur devoir, à tout le moins moral, de partager les tâches ménagères avec leur épouse.
Comme nous le rappelions cet été, l’islam n’a pas fait de l’épouse une bonne à tout faire et de l’époux un maître à servir. L’épouse est même juridiquement parlant, selon certains savants, en droit d’exiger de son époux, si tant est qu’il en ait les moyens, d’employer une personne qui se chargera de faire le ménage, de faire à manger, etc.
Bref, Rachid, ta femme n’est pas une boniche. Lève-toi et attrape la serpillière, et avant cela remercie-la, car sans elle ta maison serait certainement une porcherie. Ravale ta fierté s’il le faut, et dans certains cas il le faudra ^_^, et remercie-la. Même si on dit de toi que tu as mangé un âne…
Après donc la vaisselle pour tous, la serpillière pour tous.
Pour ceux qui n’ont pas encore vu la première vidéo, là voici.
Merci à Darifton pour la traduction.
Bon, je me lance… Pour celui qui comprendrait le tarifit et qui aurait le courage, le temps et les moyens nécessaires pour, je vous demande gentiment si vous pouvez nous traduire la vidéo de la version « el marmita » du prédicateur en question qui n’est autre que Tarik Ibn Ali, hafidhahou Allah.
Partie 1 : http://www.youtube.com/watch?v=AAHljVXklAc&feature=channel_video_title
Partie 2 : http://www.youtube.com/watch?v=DsM7vhjSn9I&feature=channel_video_title
Partie 3 : http://www.youtube.com/watch?v=kqt1_WPdfbQ&feature=channel_video_title
Partie 4 : http://www.youtube.com/watch?v=YRI6dtAk_Rc&feature=channel_video_title
Barakallahou fikoum à vous, volontaire(s).
En coupant au préalable bien évidemment toutes les petites scènes d’intimités avec ses enfants, s’il vous plaît. Ça coule de source. Même si je trouve cela trop chou.
^^ 🙂
Assalâmou alaykoum wa rahmatoullâhi ta’alâ wa barakâtouhou,
Les chats raffolent de l’odeur de l’eau de Javel et les… cafards aussi !
En outre, l’eau de Javel favorise l’asthme et détruit la faune microbienne de la terre rendant celle-ci stérile.
Optez pour des produits écologiques, notamment le vinaigre blanc ménager, le bicarbonate de sodium et le savon noir.
Non, non, non, n’insistez pas, je ne viendrai pas faire le ménage chez vous… c’est pas mon rôle ! 🙂
Heu… c’est vrai, le frère il aime beaucoup l’eau…
Wa salâm
😀 ^^
Le préambule.
Assalâmou alaykoum,
@ Niyyou,
Figurez-vous que j’y ai déjà pensé depuis belle lurette et j’y pense parfois, mais les circonstances font que ce n’est pas ma priorité pour le moment.
Si cela avait été possible, je demanderai à Allâh (AWJ) d’étirer ma journée de 24 h à 72h pour entreprendre tout ce que je voudrais entreprendre.
Dans ma situation, je m’estime déjà très heureuse et très privilégiée qu’Allâh (AWJ) me compte parmi les très matinale, les laborieuses, celles qui peuvent travailler à partir de son domicile et avoir un oeil sur ses enfants et son ménage.
Je m’estime très privilégiée d’être mariée à un homme qui n’est pas attaché à la dounia, qui est un habitué du masjid des veilles nocturnes pour Allâh (AWJ) ; un jeûneur régulier et constant ; un lecteur assidu du Coran ; UN HOMME QUI MAÎTRISE SA LANGUE ; un homme extrêmement patient dans les conflits et l’adversité ; un homme qui s’est montré à maintes reprises un père jovial qui joue avec ses enfants ; un père qui suit de près la scolarité et la spiritualité de sa progéniture ; un mari toujours amoureux de son épouse après bientôt 14 ans de mariage ; un époux qui ne crée pas une guerre atomique à la maison parce que le repas ou le ménage n’est pas fait, et qui se contente du pain et d’un yaourt voire qui nous concocte un repas lorsque madame sort avec ses enfants à la médiathèque, à la ludothèque ou ailleurs.
Si mon époux a des défauts ?
Mais comme tout le monde, mais ses qualités sont supérieures à ses défauts, et il fait partie de ceux qui essaie de se réformer continuellement. Alhamdoullil-Lâh !
Voilà ma note positive pour la journée !
N’oubliez pas de jeûner….
Wa salâm
Machaallah !!! Qu’Allah préservent vous et votre famille, j’ai eu des frissons en lisant votre commentaire… c ‘est tellement rare d’entendre ce genre de témoignage de nos jours…..Machaallah…Qu’Allah vous accorde Sa Satisfaction
salam 3aleykom wa Rahmatullah
——>à Zeinab
Le fait qu’un homme aide sa femme(ou le contraire) contribue à la bonne entente ds le couple. Si la femme voit que son mari l’aide et mm après une journée au boulot; elle aura de la reconnaissance envers lui et ça aide au bon fonctionnement du couple!
Je dis pas qu’il doit rentrer à la maison et faire une 2ème journée mais parfois il lui suffit juste de ranger ses chaussures, sa veste ou de ramasser un truc qui traine pour le remettre à sa place pour gagner en estime ds les yeux de sa femme. Elle pourrait mm lui dire: « non laisse je vais le faire repose toi »
———> Le ménage pour l’homme c’est un jeu de séduction avec sa femme!
salam
786,Asalamualeikum à tous,
bon esprit ce frère mais zéro pour le gaspillage de l’eau…. l’eau pour faire la vaisselle c’est comme quand on fait wasou ou on se lave les dents, ect,ect…. PAS DE GASPILLAGE… S’il vous plait. C’est ça aussi être musulman responsable….,
bonne journée de jumma à tous. Qu’Allah Subbanah Wa Tallah accepte vos duah, Ich’Allah
@Justine
Salam alaykoum wa rahmatoullah,
Et bien ça, ça venait du coeur 🙂 et plus profond encore 🙂 de l’amour de Allah. 😉 Qu’Allah vous accompange
Assalâmou alaykoum,
@ Sélim,
Amîne !
Baraka Allâhou fik.
Je nous souhaite à tous d’avoir Allâh (AWJ) comme Unique Amour pour Lequel on aime et on déteste.
Wa salâm
@ Justine
Puisse Allah vous le préserver dans cette direction et faire en sorte que nous soyons des hommes (pour mon cas) similaires, sinon comme notre Prophète, sallallahou alayhi wa sallam..
@ oumyacine
Je suis d’accord avec vos propos.
Barakallahou fiki.
@ jack freedent
En effet, cela m’avait également interpellé/questionné/intrigué à la première lecture de ce préambule, c’est d’ailleurs en partie pourquoi j’avais mis dans mon second commentaire
« 😀 ^^
Le préambule. .
Parce que cela m’avait fait sourire. Mais, on l’aura tous compris, je pense, Al-Kanz a tout simplement voulu y mettre une pointe d’humour et qu’il aurait très bien pu mettre Mohammed, comme Mahmadou, comme Bilal, comme Moustapha, comme Abdel Kader, comme etc.
A moins qu’il veuille faire un petit clin d’oeil à l’un de ses amis (frères) de son entourage. Une sorte d’interpellation très fraternelle. ^^
Asalam aalaykoum
Bravo au frère cuisinier/lave-vaisselle/nettoyeur (haute pression). Personnellement le nettoyage au kärcher dans le hall d’entrée j’avais jamais vu !
Petit rappel : évitez l’eau de javel dans vos foyers, il en ressortira quelque chose meilleur. Produit cancérigène, qui irrite les voies respiratoires, excessif pour les seules petites bactéries que nous ayons à tuer, etc. Penser à vos petits mouflets qui vont jouer ensuite sur le sol ! Préférez le savon noir, bien meilleur.
Qu’Allah fasse souffler un vent de Miséricorde sur nos foyers.
Allahuma allif bayna Qouloubana
Assalâmou alaykoum,
@AbdallahJoneJLB,
Amîne !
Sinon, juste deux petites remarques par rapport d’abord aux invocations puis au prénom Mouhammad et ses dérivés.
Personnellement, lorsque j’invoque Allâh (AWJ), je ne dis jamais « Puisse Allâh… », car Allâh (AWJ) est Le Capable par essence et par excellence. Je dis : « Qu’Allâh (AWJ)… »
Il y a fort longtemps (donc je ne pourrai pas vous citer les références), j’avais lu que les musulmans des premières générations respectaient le prénom du Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) au point que lorsque parmi eux quelqu’un portait ce prénom il lui laissait la préséance dans la prise de parole.
Subséquemment, je crois que l’on ne doit pas plaisanter avec le prénom Mouhammad ou Ahmad, Allâhou ‘alam.
Wa salâm
@ Justine
Je comprends tout à fait votre point de vue mais j’ai entendu à plusieurs reprises des Imams de très grande science le dire, l’utiliser et ne pas le réprimer. J’en ai conclus et j’en conclus qu’il n’y a aucun mal à son utilisation. Mais, au fond, vous avez peut-être raison. Lorsque l’occasion se présentera à moi, j’en parlerais à un imam qui est assez compétent, avec les quelques arguments que vous avancez.
Et je suis d’accord sur l’explication. Il n’y a pas de souci. Si je cherchais à chaque fois à corriger les termes de mes semblables/coreligionnaires, notamment ici sur la sphère « internet », eh bien on me prendrait pour un « tireur d’élite ». Et puis, quand bien même je fais des remarques on ne me prends pas au sérieux et on ne considère pas comme fiable, comme sérieux, ce que j’avance. Tant pis pour ceux-là.
Pour ce qui concerne, les appellations que j’ai pu y mettre, eh bien, bien entendu que je ne les cautionne pas pour autant toutes. Je fais justement référence au plus noble prénom des humains qui est Mouhammed.
Si je l’ai cité parmi tous les autres c’est que j’ai bien conscience que dans les pays de l’afrique de l’Ouest, voire centrale (oups, je ne connais pas trop la géographie, mais je sais juste que dans pas mal d’endroits en Afrique c’est assez répandu), et que j’ai voulu donner son lot à tout le monde. De même que j’aurais pu y ajouter Mehmet (pour les turcs). Ce que je n’ai pas fait.
Si je comprends bien, et d’après moi, Mehmet correspond à un « diminutif » si je puis dire ainsi, de Mouhammed. Or, je n’ai jamais fait la remarque à tous mes frères turques de même confession que nous, musulmane. C’est de culture, tout simplement.
Je ne changerais jamais/pas les codes des gens bien que je ne cautionne pas.
Conclusion, je sais que Mahmadou et tout ce que l’on peut inventer (ôter ou ajouter dans un prénom) n’est pas vraiment islamique. Mais on fait avec notre temps. Je vois les choses comme tel.
De la même manière que, dans mon entourage, depuis que je me suis convertit, on m’a aussitôt appris, inconsciemment et sans que je ne le veuille spécifiquement, à ne jamais appeler Karim « Karim », Malik « Malik », Kader « Kader », etc. Car OUI, islamiquement, ça n’est pas correct. On doit toujours ajouter les Abd El (ou « Abd Al », pour les plus pointilleux) car nous sommes tous (pour les hommes, dans ce cas-là) Serviteurs ou des Adorateurs ou des Esclaves d’ ALLAH, et non pas les el « Karim », el « Malik », el « Moun’im », el « Rachid ».
D’ailleurs, c’est ce que j’ai toujours su appliquer depuis, quand bien même tous mes amis/frères portait simplement l’attribut de fin (ce que j’ai mentionné juste au-dessus).
A ce propos, vous remarquerez que je n’ai volontairement pas brusqué le frère Al-Kanz en lui faisant justement la remarque à propos du prénom qu’il a pris comme exemple dans son préambule. Ceci s’appelle de la sagesse. Car, d’une, je sais le nombre d’années, l’expérience, le vécu, qu’il a devant moi (le respect de mes plus aînés est primordial chez moi) et je pars également du principe qu’il le sait déjà et que lorsqu’il l’emploie c’est que c’est inscrit dans nos moeurs, malgré nous. On fait avec.
Donc, ce n’est pas parce qu’il l’a employé qu’il le cautionne forcément et qu’il ne le respecte pas. C’était également mon cas. Du moins, c’est comme cela que je perçois la chose.
Dans le fond, bien évidemment, je me répète, je suis entièrement d’accord avec vous.
Et je prends bien votre remarque, il n’y a aucun souci. La longueur de mon commentaire ne justifie en rien la qualité de la réception de ce dernier.
Merci de votre compréhension.
PS : Bien entendu, je sais que tous les noms n’ont pas le « Abd El » devant. Je parle simplement lorsque cela est valable, et donc cela concerne simplement les 99 attributs d’Allah.
Je précise cela pour qu’on ne vienne pas me faire dire ce que je n’ai jamais dit ni sous-entendu.
Wa alaykoum salam wa rahmatullahi wa barakatuh.
Afouane.
PS : D’ailleurs, ce n’est pas tant (et ce n’est pas le cas) que la vengeance soit un plat qui se mange givré (ou froid, prenons celui que l’on préfère) mais, justement j’avais remarqué que depuis bien longtemps vous mettiez le « ta’alâ » entre le « raHmatoullâhi » et le « wa barakâtouhou ». Or cela ne se dit pas. Cela n’a jamais été institué par notre Prophète, sallallahou alayhi wa sallam. Or, je ne vous ai jamais fait la remarque. Car je me disais et je me dis que vous le savez/saviez sûrement déjà mais que vous voulez/vouliez glorifier davantage notre Seigneur. Aucun mal à cela, bien entendu. Au contraire, tout le mérite est pour vous. Simplement, dans l’Islam, dans certains cas, pour ne pas dire dans « tous », on n’ajoute pas comme on ne réduit pas ce qui nous a été institué, sauf dans certains cas où cela nous a été permis, voire recommandé.
Pour reprendre l’exemple d’Al-Kanz dans l’une de ses dernières interventions radiophoniques : quand on fait la prière du matin, on n’ajoute pas une ou deux autres unités de prières sous prétexte qu’on veuille plaire davantage au Seigneur. (c’est à dire passer de 2 unités imposées à 3 ou 4 ou davantage).
J’espère que vous me saisissez et que vous ne prendrez pas mal cette interpellation. Cela va simplement dans le sens de ce que vous m’avez rappelé.
Et en tant que musulmans et membres d’une même communauté, on se doit le bon conseil.
Je ne vous le fais pas dire, j’ai moi aussi, comme beaucoup d’autres, je pense, entendu cela de la propre bouche d’Imams « officiels » de certaines mosquées dont je tairais les noms. Ce n’est pas le but de dénoncer untel ou untel, mais simplement dénoncer des pratiques pas très prophétiques, à mon sens, quand bien même cela viendrait de tel ou tel imam, qu’il soit connu, reconnu ou non. Et je n’en fais pas un plat pour autant.
Wa Allahou A’lam.
[…] c’est que j’ai bien conscience que dans les pays de l’Afrique de l’Ouest, voire centrale (oups, je ne connais pas trop la géographie, mais je sais juste qu’il y en a dans pas mal d’endroits en Afrique), c’est assez répandu et que j’ai voulu donner son lot un peu à tout le monde. […]
Assalâmou alaykoum wa rahmatoullâhi wa barakâtouhou,
@AbdallahJoneJLB,
Rassurez-vous, je pense faire partie des croyants sincères qui prêtent une bonne intention à leurs coreligionnaires qui les conseillent et qui ont bien compris l’intérêt de tuer leur ego et d’accepter de courber l’échine sans rechigner devant la vérité appuyée de preuve (s), donc aucune vexation, bien au contraire, un GROS sourire en vous lisant (je n’en dirai pas plus… la sagesse). ^_^
Voici la partie pour laquelle je vous suis reconnaissante d’avoir interpeller mon intelligence, mes souvenirs (eh oui, la mémoire n’est plus ce qu’elle était !) :
« : D’ailleurs, ce n’est pas tant (et ce n’est pas le cas) que la vengeance soit un plat qui se mange givré (ou froid, prenons celui que l’on préfère) mais, justement j’avais remarqué que depuis bien longtemps vous mettiez le « ta’alâ » entre le « raHmatoullâhi » et le « wa barakâtouhou ». Or cela ne se dit pas. Cela n’a jamais été institué par notre Prophète, sallallahou alayhi wa sallam. Or, je ne vous ai jamais fait la remarque. Car je me disais et je me dis que vous le savez/saviez sûrement déjà mais que vous voulez/vouliez glorifier davantage notre Seigneur. Aucun mal à cela, bien entendu. Au contraire, tout le mérite est pour vous. Simplement, dans l’Islam, dans certains cas, pour ne pas dire dans « tous », on n’ajoute pas comme on ne réduit pas ce qui nous a été institué, sauf dans certains cas où cela nous a été permis, voire recommandé. »
Vous avez tout à fait raison !! et je n’avais jamais fait attention à ce principe pour le salut de courtoisie entre coreligionnaires. En revanche, je l’avais appliqué pour la salutation finale de la çalat. En effet, certains parmi nous disent pour achever leur prière : « Assalâmou alaykoum wa rahmatoul-Lâh wa barakâtouh », alors que la formule adéquate est « Assalâmou alaykoum wa rahmatoul-Lâh ».
Donc, merci, merci et encore merci !
Wa salâm
@ Justine
En effet. Il n’y a aucun souci.
La religion est le bon conseil, comme me l’avait si bien rappelé un frère, jazahou Allah kheyran, dans le précédent épisode de cet article.
Vous faites bien de me rappeler que lors de vos « çalate » vous l’appliquez. D’ailleurs, je n’en doutais pas. Je me le disais bien, inconsciemment.
Et c’est vrai que je trouve très regrettable que beaucoup, et Dieu sait combien j’en ai vu et entendu, d’Imams (pour précisions, de l’endroit d’où je viens on n’a pas d’imams à proprement parler… je fais avec) [ils ont au minimum, pour la plupart, pas moins de 60 ans] se permettent de dire (et je pense qu’ils appliquent cela depuis leur plus tendre enfance, je ne leur en veux pas car je n’ai pas non plus la prétention d’être meilleur qu’eux) le « ta’alâ » justement à la fin de la prière, lors de la salutation finale, chose à laquelle je ne pensais pas lorsque je vous faisais la remarque.
Pourtant, d’aucuns n’a, à ma connaissance et selon mes constatations, été lui faire ce rappel avec toute la sagesse que cela implique.
Donc, je ne l’ai moi-même pas fait ni ne le ferais à l’avenir. Je me permettrais vraiment et simplement de faire cette remarque à une personne avec qui j’ai/aurai grandi et qui a surtout plus ou moins mon âge (et je suis très jeune, contrairement à la plupart d’entre nous, ici, sur le blog et la page). Or, très peu sont celles-ci.
Salam aleykoum,
oui, cet homme est étonnant… machaAllah. J’aime trop le côté naturel quand il parle avec ses potes…
@ Justine et AbdallahJoneJLB : merci pour les rectifications, d’ailleurs par rapport au salut à la fin de la prière, j’avais un doute que vous venez de m’ôter.
En ce qui concerne la salutation tout court, bien souvent je me « contente » d’un simple « salam aleykoum », mais c’est toujours bon à savoir.
PS : effectivement, gros bémol concernant l’eau, mais je tenais à dire que l’outil qu’il a, une sorte de karcher, donne souvent l’impression que bcp d’eau en ressort mais en fait c’est généralement le débit qui est très puissant, et donc peu d’eau utilisée. Il existe le même système pour les robinets.
Assalâmou alaykoum wa rahmatoullâhi wa barakâtouhou,
@AbdallahJoneJLB,
Ordonner le bien et interdire le mal en islam
Principes-Modalités-Conditions
Al-Ghazâlî, Ibnou Taymiyya et autres auteurs, Edition Alburda, avril 2004, p. 92-94.
« Peut-on réprimander ses parents, son mari ou son supérieur ?
Un fils est-il compétent pour censurer ses parents ? Al-Ghazâlî est d’avis que dans son principe, l’aptitude à la censure doit lui être reconnue également. Mais dans le détail de son application, il convient d’observer une différence : le fils a le droit d’enjoindre le bien et de réprouver le blâmable à ses géniteurs, sans pour cela dépasser les deux premiers degrés parmi ceux qui viennent d’être énoncés. C’est-à-dire qu’il peut informer ses parents qu’ils délaissent une obligation (prière, jeûne,…) ou qu’ils commettent un acte illicite (de quelque nature que ce soit). Il pourra également les exhorter et les conseiller avec douceur, en citant des versets du Coran, des traditions prophétiques ou des propos des juristes relatifs au bien et au mal.
Par contre, le fils ne pourra mettre en œuvre les degrés qui s’opposent directement au respect dû à ses parents. Il doit en effet se conformer aux versets : « Ton Seigneur a prescrit […] la bonté envers votre père et votre mère. […] Ne les brusque pas ; tiens-leur un langage affectueux, et incline vers eux, avec pitié filiale, l’aile de l’humilité. » [17 :23-24] et « Comporte-toi avec eux, en ce monde, d’une façon convenable. » [31 :15]. Il ne pourra ni les admonester, ni les menacer, ni les rudoyer de façon verbale ou physique.
Pour ce qui est du quatrième degré – qui consiste à empêcher l’acte répréhensible par intervention directe -, Al-Ghazâlî estime qu’il mérite examen. D’un côté, si le fils supprime les éléments illicites qu’il trouve chez ses parents, il ne contrevient pas au respect que lui commande la religion ; mai d’un autre côté, cela peut s’opposer à l’interdiction coranique de faire souffrir ses parents. Après discussion, le savant conclut que l’acte du fils ici est légitime tandis que la colère des parents provient d’un attachement à des choses interdites. Le fils est donc en droit d’abolir les instruments de l’acte blâmable – en tenant compte toutefois, et dans la mesure du possible, des degrés d’infâmie de la chose réprouvée, et du degré de souffrance ou de colère qu’il provoquera en les supprimant, chez ses parents. Tout doit rester proportionnel.
On rapporte qu’Al-Hassan Al-Basrî fut interrogé sur la manière dont un fils peut réprimander son père. « Qu’il l’admoneste aussi longtemps que cela ne le courrouce pas, répondit-il. Mais dès que la colère saisit le père, son fils doit alors se taire. »
Ces règles et ces réserves s’appliqueront de même à toute personne que la religion place en état de tutelle par rapport à une autre : la femme pourra censurer son mari, l’élève son maître, l’administré son supérieur hiérarchique, en l’informant tout d’abord puis en l’exhortant ou le conseillant, avec courtoisie et respect. »
Un livre à lire dans son intégralité pour ceux et celles qui peuvent se le procurer, in châ Allâh.
Wa salâm
@ Justine
Barakallahou fiki.
Ce rappel est merveilleux et très profitable.
En ce qui concerne le sujet, eh bien j’ai également à plusieurs reprises été rappelé quant à la question et j’avais bien saisit la chose.
Simplement, là, lorsque je disais que je ne le ferais jamais c’est ; d’une, parce que j’estime ne pas avoir un bagage assez conséquent pour pouvoir argumenter (apporter les preuves) mes positions et celles qu’il faut ; de deux, je n’ai pas les mots pour, c’est-à-dire que je sais que je n’ai pas les bons mots à employer envers un chibanis, surtout quand ceux-ci ne maîtrisent pas totalement, pour ne pas dire ‘que très peu », le français ; et de trois, ma réserve, ma timidité, ma pudeur et mon « insociabilité » ne me permettrait pas de le faire. Et ce n’était pas tant que je ne veuille pas. On n’est bien d’accords.
Voici toutes les raisons qui m’ont poussées à vous avancer tout ce que j’ai dit. Mais, encore une fois, j’approuve totalement l’extrait de cet excellent livre (selon vos propres termes).
D’ailleurs, je repense et je reprends l’exemple de deux enfants (wa Allahou A’lam) qui avaient vu un compagnons faire les ablutions et qui ne les avait pas faites correctement. Alors, les deux enfants décidèrent d’aller le voir et de jouer une scène de ceux qui n’étaient pas d’accords sur la manière de les faire en lui demandant de voir chacun d’eux les faire et de rectifier si possible.
C’est alors que le compagnons compris qu’il avait lui-même fait une erreur et qu’il avait bien vu que les deux enfants avaient exactement fait de la même manière les ablutions. lol [qu’on me corrige si je fais erreur dans l’histoire, svp, merci]
Soubhallah, je remercie Cheikh Abou Chayma, d’où j’ai appris et entendu (via une vidéo) cette merveilleuse histoire pleine de sagesse pour la première fois (cela fait quelques mois maintenant). Également Professeur Rachid Haddach et Professeur Mohammed François, il me semble, il n’y a pas si longtemps que ça, qui (me) rappelaient exactement la même histoire (encore sur vidéos).
[…] Soubhanallah […]
@ Look
Il n’y a pas de quoi. C’est tout à fait normal.
Cependant, je vous invite très solennellement à aller prendre et apprendre la science directement auprès de Savants. Car comme vous le savez très certainement, nous ne le sommes pas et on doit laisser ce mérite et ce travail à nos imams. Ils sont justement là pour ça.
Donc, soit il vous est possible de vous rendre assez librement dans la mosquée à proximité de chez vous (ou bien, pour le prochain joumou3a) et donc vous solliciterez l’imam qui y officie, ou bien soit vous demanderez à une soeur qui a un frère qui pourra faire l’intermédiaire entre vous et l’imam en question.
Sinon, prendre les informations sur des sites de grandes renommées et réputés comme très fiables, très sérieux. Je n’en connais pas spécifiquement car je n’en fréquente pas, même si j’ai mes petites idées.
Vos recherches pourront vous mener à l’un de ceux-ci.
Effectivement, pour le reste, c’est bon de savoir que ce que vous avez dit est également valable mais, si je puis dire ainsi, on gagne moins de hassanates à réduire nos lettres ou notre formule… Alors, qui veut (le plus de) des hassanates sait ce qu’il lui reste à faire.
Pour terminer, merci pour vos informations quant au débit d’eau rejeté et ses possibilités.
Salamu aleykum,
J’ aime beaucoup ces vidéos, j’ aime beaucoup l’ attitude du frère, c’ est avec le sourire que je les regarde; ce sont des marques d’ adoration envers Allah ta’ ala et d’ affection envers son épouse… Il faut etre une épouse très raisonnable pour avoir un époux très serviable! Qu’ Allah ta’ ala accorde Ses Bienfaits aux familles musulmanes, beaucoup de respect les uns envers les autres, beaucoup de miséricorde et de sincérité.
Barakalawfik pour ces partages.
C’est vrai que dans un monde où les hommes sont des femmes ça fait mieux de faire la vaisselle et de passer la serpillère,c’est presque normal..je fais référence aux non-barbus et à ceux qui ne peuvent faire jihad an-nafs.
as-salâmu ‘alaykum
Ahmad3, je n’ai pas compris.
En fait dans l’état actuel ça me fait sourire ce type de d’action car beaucoup d’hommes aujourd’hui se sont « féminisés » (plus de barbes, ainsi que d’autres qualités d’hommes musulmans) donc manquerait plus que la vaisselle et la serpillère pour terminer le tableau!
Le frère de la vidéo est macha’Allah mais je pointais juste l’ironie de la situation de mon point de vue.
Je sais pas ce que vous ne pensez.
Wassalamu ‘alaykoum.
as-salâmu ‘alaykum
Ahmad3
Les travers et manquements des uns ne doivent pas nous faire oublier nos devoirs. Le Prophète (salla-Llahu ‘alayhi wassalam) ne cousait-il pas lui-même ses affaires personnelles, pour ne prendre que cet exemple ?
Quant à systématiquement opposer les défauts des femmes quand on évoque les travers des hommes et vice versa, personnellement je ne suis pas persuadé que ce soit productif. Cela dit, dans tous les cas, il s’agit d’adopter toujours une position de juste milieu.
Oui je suis d’accord avec vous et j’avais bien compris votre intention derrière ce post, qu’Allah vous en récompense.
Après il ne faut pas en effet systématiquement évoquer les travers mais vaut mieux faire la piqûre de rappel trop souvent plutôt que pas assez à mon humble avis.
Allez salam alaykoum.
salam aleykum
je suis rif donc je peux vous aider à traduire.
merci pour cette video tres creative ,innovante, on aurait jamais pensé qu’un Homme Musulman puisse se faire filmer pour montrer la realite d’un quotidien ,effectivement cela apporte du poids a son dars . Si tous les hommes et femmes pratiquaient sincerement avec honneteté ,amour et biensur la foi les familles seraient heureuse et par consequent les enfants grandiraient dans un cadre ou ils s’epanouiraient et seraient protegés par les parents et biensur par le divin .