C’est ce qu’affirmait déjà voilà cinq ans un expert interrogé par les Echos :
Véritable pactole, ce marché intéresse de plus en plus des grandes entreprises comme Charal, Doux, Socopa ou Duc. A l’exportation d’abord, vers le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, ce qui représente au total 400.000 tonnes par an. « Ce sont des marchés de substitution face à la baisse de la consommation française. Certains groupes ne seraient plus là s’ils n’avaient pas investi ce créneau », estime un expert.
Source : Les Echos, Les zones d’ombre de la filière halal
C’est encore plus vrai aujourd’hui. Les consommateurs musulmans vont-ils enfin se réveiller et décider de ce qu’il y a dans leur assiette ? Ce sont eux, non les industriels et encore moins leurs « représentants », qui ont la capacité de faire en sorte qu’on les respecte. Qu’ils votent avec leur porte-monnaie !
Nous vous invitons à lire l’article dont nous tirons la citation précédente. Il n’a pas pris une ride et comporte quelques perles.
salam aleykoum je suis proprietaire d’un snack et j’utilise des steack dit halal de la marque charal controler par sfcvh donc la mosquée de paris et apres le reportage de canal + sur le marché halal g de serieux doutes et je suis outré en tant que musulman que l’on nous mentent ainsi jaimerai etre eclairer sur ses steacks car je me doit de verifier si ils sont bien halal car j’en ai fait consommer a d’autres musulmans si je peu etre eclairer barak allah oufikoum