Début mars, nous vous invitions à contacter Carrefour afin d’en savoir plus sur la certification de sa mdd (marque de distributeur) halal. Nous avons été, semble-t-il, plusieurs à poser la question au service consommateurs de l’enseigne, qui dans un premier temps semblait être pris au dépourvu. Quelques jours plus tard, une lettre était envoyée à ceux qui l’avaient sollicité.
Dans cette lettre, Carrefour admet clairement – tout en tournant autour du pot – travailler à l’élaboration de sa propre marque de produit halal. Il ne peut de toute façon en être autrement. Après Wassila de Casino, Carrefour ne peut se permettre d’être absent du marché. Toutefois, aucune réponse n’est apportée au sujet de l’organisme de certification, lequel sera déterminant : soit Carrefour adopte une stratégie à très court terme et s’acoquine avec un organisme de certification véreux tel qu’il en existe beaucoup (trop) aujourd’hui, soit Carrefour prend toute la mesure des enjeux présents et à venir et procède de la meilleure des façons en choisissant la voie du halal dans toute son authenticité. La deuxième voie est évidemment celle que Carrefour doit choisir.
Madame et chère cliente,
Nous avons pris connaissance avec attention de votre email. L’écoute de nos clients est primordiale pour améliorer la qualité des produits et du service que nous vous proposons. C’est pourquoi nous vous remercions d’exprimer vos attentes à l’égard de notre enseigne.
Nous vous confirmons que l’étude d’un projet de lancement d’une marque halal de distributeur est actuellement en cours de réflexion. Toutefois, rien n’ayant encore été arrêté à ce jour, nous ne sommes pas en mesure, à date, de répondre plus précisément à vos interrogations.
Par ailleurs, nous tenons à vous assurer que nous ne manquerons pas de vous faire part, dès leur communication, de toute information complémentaire dont nous pourrions nous-mêmes avoir connaissance.
Vous remerciant de votre fidélité, nous vous prions d’agréer, Madame et chère cliente, l’expression de nos salutations distinguées.
soit Carrefour renonce à ce business…Cette troisième voie est évidemment celle que Carrefour devrait être poussé à choisir 🙂
salam alikoum boycott boycott et boycott !!!! aucune confiance en eux barak allah oufik al kanz pour cet article vivement l’arrivée d’ AL ISLAMI FOODS que je connais al hamdoulilah il nous fallait une marque comme cela pour donner notre aux musulmans car comme on pu le constater notre argent ne va pas aux bonnes personnes! que des tromperies et de l’escrorie.
slm lkm,
http://fr.news.yahoo.com/7/20100331/dessin/pen-dessin-du-jour-qui-n-a-864ddfcf774e.html
Salam aleykoum
Juste pour info halal ou pas halal,l’enseigne Carrefour verse 3% de ses bénéfices à une société isrâellienne…
Alors soyons des consommateurs musulmans responsables,meci de faire tourner l’info,wasalam.
Bonjour,
En effet, j’ai appris que Israël a pris des parts dans Carrefour; autrement dit, Carrefour leur appartient en partie (depuis quelques temps).
Alors, si y achéte (Halal ou pas comme dit Jihane), on fait profiter directement Israel de notre argent; n’oublions pas que c’est notre deuxième ennemi aprés Satan.
Depuis, je ne mets plus les pieds chez Carredour.
Qu’ils renoncent à leur business, je n’achèterai jamais de la nourriture douteuse de surcroît chez eux. JAMAIS !
et donc sur le même thème pas chez Casino non plus Messieurs puisque la c’est carrèment le dirigeant et actionnaire principal qui est de confession juive..idem pour Isla Délice..
je ne suis pas certain qu’il faille faire venir la politique dans la consommation et créer des phobies qui n’existe pas réellement..
Si un fonds d’investissement Israélien dirigeait ou orientait de manière « confessionnelle » ou politique Carrefour, je doute qu’ils les laisseraient développer des gammes de produits Halal.
La grande distribution est un vecteur pratique pour distribuer des produits alimentaires et les fonds d’investissements cherchent de l’argent..il est peut être en revanche navrant de ne pas trouver des fonds dit « Charia » au sein des plus grands groupe et notamment ceux qui touchent aux consommateurs