Gilles Devers, avocat, écrit toujours aussi bien.
J’enrage plutôt devant ces abrutis plantés sur leurs ergots de coq qui, pataugeant dans la fange, envisagent de modifier la Constitution pour sanctionner les femmes portant la burqa, mais ont la trouille de juger les auteurs de génocides et de crimes contre l’humanité. J’entends déjà le prochain discours présidentiel : « La burqa n’a pas sa place dans la République, mais les auteurs de génocides, on peut en causer, car il ne faut pas instrumentaliser la Justice. »
Pour lire l’intégralité de l’article, cliquez sur le lien suivant : Les actualités du droit
j’aime j’aime j’aime