Voici le titre que l’on pouvait lire hier dans un article du quotidien L’Alsace.
Capture d’écran du site www.lalsace.fr
La mosquée serait donc un repaire. Difficile d’en savoir plus étant donné l’impossibilité d’accéder à l’article. On ne peut donc remettre cette citation dans son contexte ni déterminer l’acception du mot « repaire » retenue par le journaliste. Car « repaire » a plusieurs sens. Au choix (source : Atilf.fr) :
A. Logis, demeure ; lieu où l’on se retire (en vieux français).
B. 1. Lieu, abri qui sert de refuge aux animaux sauvages.
2. Habitation, lieu où l’on a l’habitude de se réfugier, de s’isoler.
C. Lieu qui sert d’abri, de cachette dans une situation conflictuelle.
A votre avis, quelle acceptation a-t-on retenu pour cet article ? Sûrement aucune des trois. Il s’agit vraisemblablement d’une coquille : le journaliste a voulu écrire « repère » mais a écrit « repaire ». Coquille fâcheuse, mais sans conséquence.
(merci à Alan pour l’info)
Si même les journalistes ne maîtrisent plus la langue française où va-t-on?
En même temps ce sont toujours les premiers à nous faire la morale sur le niveau de français des élèves d’aujourd’hui.
salam
bravo la mosquée est un lieu de refuge d’animaux
il faudrai exigé des excuse publique des pseudo journalistes!