Un médecin généraliste, ce jour, sur la nécessité d’être à l’écoute du patient et de l’accompagner dans le mieux-être.
On ne soigne pas une femme pratiquante comme on soigne un jeune homme de vingt ans disc-jokey.
Et Hippocrate, à la fin de son serment : « guérir ou ne pas nuire. »
Ce qui techniquement, est vrai.
🙂
Assalamu aleykoum
@Kyle Butler ; Vrai? En quoi ?
Parce que j’ose espérer d’un docteur qui fait pas son boulot comme une machine qu’il sait s’adapter au patient. Tu t’imagines un docteur qui parle à un rebelle à casquette comme à la vieille mémé du 3ème? Pauvre rebelle à casquette… Ce sont des individus qui ne fréquentent pas les mêmes lieux, qui n’ont pas les mêmes habitudes (alimentaires notamment) bref, un diagnostic raisonnable pour l’un peut être complètement fantaisiste pour l’autre.
Donc techniquement oui: on traite chaque patient individuellement (a fortiori le rebelle à casquette n’est pas soigné comme la femme pratiquante).
🙂
Assalamu aleykoum
Il y a une différence entre « soigner », « se comporter » et « diagnostiquer »…. Le médecin en question dit qu’il ne soigne pas de la même façon les deux personnes qu’il cite…
Ne pas se comporter comme une machine certes… mais faire preuve d’humanité quoi qu’il arrive… même avec mon voisin à casquette sisi!
Wessalam…
Assalâmou alaykoum wa rahmatoullâhi ta’alâ wa barakâtouhou,
Diagnostiquer, adopter l’attitude adéquate, faire preuve de psychologie et de discrétion (secret professionnel) font partie intégrante du soin lorsque l’on est professionnel de la santé. L’écoute est un soin, c’est ce que l’on appelle de la relation d’aide dans le jargon médical et paramédical .
Wa salâm
» Un médecin c’est quelqu’un qui verse des drogues qu’il connait peu dans un corps qu’il connait moins » Voltaire.