En 2009, la Société générale aidait Ali. En 2011, c’est SFR qui pense à Ali qui doit – du verbe devoir – fêter Noël. Et pourquoi que ça pourrait pas être le cas ? Y a bien des sacrifices de mouton de l’aïd à l’occasion de la messe de Noël et des hosties distribuées à Shabbat dans les synagogues de France, non ? Non. Ah. Bon pas grave. Il paraît qu’il faut coûte que coûte fêter Noël, les guirlandes, le champagne halal et toussa. Et sus aux gens pas ouvert.
(merci Karim)