En parcourant le rapport 2010 – le 2011 vient de sortir – de la commission nationale consultative des droits de l’homme, intitulé « La lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie », nous découvrons que mentionner l’origine ethnique d’individus est possible en France. Page 112 du rapport, on apprend en effet qu’un certain nombre d’acte antisémite ont été commis par des auteurs d’origine arabo-musulmane.
Il doit y avoir certainement une utilité à préciser l’origine des auteurs de délits. Surtout s’ils sont « musulmans d’apparence ».
Salem,
2 commentaires :
1 – dans le commentaire au dessus du tableau on peu lire : « 31 sont imputables a des auteurs d’origines arabo-musulmanes …. et 20 font références à l’idéologie nazie » . Donc 31 +20 = 51 faits d’actions violentes, mais on apprends après : « ….ses faits on permis l’interpellations de 39 personnes ».
Donc soit il ya des muslims nazie (lol), soit ce sont toujours les mêmes (39 personnes ) qui récidivent…..
2- Dans ce magnifique tableau » La lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie » : je vois bien les lieux de culte hébraïque mais il n’est fait nulle part mention des lieu de cultes musulmans qui ont été « décorés »….. serait ce des statistiques (sic) uniquement au profit d’une communauté et au détriment d’une autre ?
31 sur 135…
Oui 31 sur 135 c’est peu mais toujours trop.
Je me demande ce que donnera les stats de la prochaine année avec cette vague de racisme instrumentalisé par les politiques et surtout qui seront les victimes ?
Comme dit l’autre : « c’est la porte ouverte a toutes les fenetres. »