Aujourd’hui Herta « halal » n’existe plus
En janvier dernier, Fabrice Epelboin nous indiquait dans une interview pourquoi il avait choisi de traiter de l’affaire Herta dans les cours qu’il dispense à Sciences-Po Paris (voir Fabrice Epelboin : « Il y a une vraie spécificité du cas Herta »). Le spécialiste de la communication de crise considérait même qu’il y avait un cas Al-Kanz.
L’affaire Herta, souvenez-vous, c’est selon un rapport d’analyses du laboratoire Eurofins la présence d’ADN de porc dans des Knackis certifiés halal par la SFCVH-mosquée de Paris.
Rebelote avec l’ouvrage d’Emmanuel Bloch publié récemment et intitulé Communication de crise et médias sociaux (édition Dunod). Al-Kanz est cité dans le chapitre consacré à la communication de « crise asymétrique ou 2.0 ». Là encore, au sujet de l’affaire Herta.
Plus généralement, l’affaire Herta fait désormais partie des incontournables pour les étudiants qui consacrent leur mémoire de fin d’étude soit à la communication de crise, soit au halal. Depuis 2011, nous avons en effet reçu plusieurs mails d’étudiants désireux de traiter de la question dans ce cadre-là.
As salamou alaykoum,
le spécialiste… considérait qu’il y avait un cas Herta plutôt, non?