Le 2 mai, un communiqué conjoint et publié sur le site Internet du PNUD (Programme des Nations Unies pour le développement) anonçait le lancement d’un programme de luttre contre la pauvre dans les pays arabes.
Les partenaires du PNUD sont la Corporation islamique internationale de financement du commerce (CIFC) et la Banque islamique de développement (BID). Ensemble ces trois organismes veulent notamment renverser la courbe du chômage dans le monde arabe où le chômage des jeunes touche parfois 30 % de la population active.
Selon Rebeca Grynspan, administratrice associée du PNUD, « cette initiative arrive à un moment très intéressant. Nous nous trouvons actuellement à un tournant de la conjoncture mondiale : les pays du Sud sont les nouveaux moteurs de la croissance mondiale et font de rapides progrès dans la lutte contre la pauvreté et la création d’emplois. »
Le programme prévoit des réformes commerciales au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, en vue d’induire une croissance économique favorable aux pauvres, car « ce que l’on sait moins, c’est combien l’anémie de la croissance actuelle est attribuable aux sous-performances commerciales régionales ».
Il sera financé, précise le communiqué de presse, « par la Corporation islamique internationale de financement du commerce, entité appartenant au groupe de la Banque islamique de développement, ainsi que par les Gouvernements de l’Arabie saoudite, du Koweït et de la Suède et par le PNUD ».
Signe de la vanité et de l’insuffisance des mesures prises depuis que l’homme existe pour se guérir de sa pauvreté : les fondamentaux de celle-ci ne sont pas pris en compte par les docteurs en tous genres qui l’étudient et prétendent la combattre.
Avant de prôner quelque solution que ce soit aux problèmes posés par la pauvreté et à ses conséquences pour tous les pays du monde, invitation à méditer sur le sujet avec :
http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com