Dans la nuit de mercredi 8 mai, le quotidien britannique The Guardian publiait sur son site Internet un scoop explosif qui, très vite, sera repris par la presse internationale : « Stephen Hawking joins academic boycott of Israel. »
A peine en ligne, l’article se propaga très rapidement sur la Toile. Comme nous le notions dans un article publié quelques heures après (lire Stephen Hawking, scientifique de renom, boycotte Israël), le nombre de partage Facebook explosa.
A 5h du matin, soit environ trois heures après la publication, le nombre de tweet dépassait les 1 000 et l’on s’approchait rapidement des 20 000 partages sur Facebook ; ce qui est énorme.
Capture d’écran du 8 mai 2013 à 5h du matin
Une semaine plus tard, jour pour jour, les compteurs ont littéralement explosé. L’article a été partagé plus de 105 000 fois sur Facebook.
Capture d’écran du 15 mai 2013
Il y a quelques années atteindre 100 000 partages sur Facebook n’était certes pas donné à tous les sites, mais cela ne relevait pas de l’exploit. Après plusieurs modifications visant à contraindre encourager les entreprises présentes sur le réseau social à payer pour gagner en visibilité, il est devenu difficile de dépasser les quelques milliers de partage. Autant dire que ce chiffre de 100 000 partages, qui plus est pour un article d’actualité générale, est tout bonnement fondamental. A la mesure somme toute du camouflet administré à Israël et à son vieux président.