Non, non, nous ne vous parlerons pas d’automobile, mais d’une boîte dont nous ne vous avons pas parlé depuis au moins… pouh la la… quelques heures ! Rosaparks, vous l’avez deviné.
Aujourd’hui, un Parisien, @NLlaj75, a raconté en live son passage chez Rosaparks, restaurant à Troyes. Après s’être extasié sur son menu burger-frites, @Nlaj75 est passé à la caisse. Et quelle caisse ! Jugez-en par vous-mêmes. Mortel, non ?, comme disent toutes celles et ceux encore loin de l’arthrose.
L’objet marron à gauche de la caisse-machine à écrire, c’est un téléphone. Un téléphone d’avant (oui les téléphones existaient avant l’iPhone). Profitons-en pour publier une autre photo, dont nous a gratifié @Nlaj75. Une photo du fameux mur de Rosaparks. On y lit les noms d’Aimé Césaire, Mère Teresa, (Amadou) Hampâté Bâ…
@alkanz @rosaparksfr je peux déguster ??? 😉 twitter.com/NLAJ75/status/…
— NLAJ75 (@NLAJ75) May 29, 2013
et d’autres noms encore.
@alkanzmur by @rosaparksfr twitter.com/NLAJ75/status/…
— NLAJ75 (@NLAJ75) May 29, 2013
Deux articles en deux jours sur Rosaparks (lire : Rosaparks fait le mur) Non, non, nous détenons aucune part dans cette société. Mais qu’est-ce qu’on est fan du concept – hormis l’aspect fast-food ! Autant donc vous prévenir tout de suite, il n’est pas certain que nous ne reparlions pas un de ces quatre in cha’a-Llah. Question d’ailleurs, que nous avons posée sur Twitter : dans combien de temps, les patrons de Rosaparks recevront une offre de rachat par des gros poissons ? Le concept est trop puissant pour laisser indifférent.