Jeudi prochain, le 24 septembre, écoliers, collégiens, lycéens et étudiants pourront ne pas se rendre en cours sans que cette absence ne leur soit reprochée. A une condition : qu’ils s’absentent pour l’aïd al-adha, l’une des deux seules fêtes du calendrier musulman avec l’aïd al-fitr, à la fin du ramadan.
Il en sera de même pour celles et ceux qui travaillent dans la fonction publique, dès lors que cette absence ne perturbe pas le fonctionnement normal du service. S’agissant du privé, il revient à chacun de discuter avec son employeur.
Pour plus de détails et pour lire la circulaire officielle – que vous devriez présenter si d’aventure vous estimez qu’on vous refusera ce droit –, veuillez consulter l’article suivant.
Précisons, à toute fin utile, que l’aïd ne doit pas nécessairement être chômé. Ce qui est très important d’accomplir, c’est la prière du début de matinée. Après cet office, chacun peut choisir de travailler ou non.