© BaniStreet
Minorité ethnique parmi les plus persécutéesselon l’Organisation des nations unies (ONU), les Rohingyas, musulmans de l’ex-Birmanie, appelée aujourd’hui « Myanmar », ont été victimes en août 2017 d’un nouveau nettoyage ethnique. Les violences systématiques et commanditées par les autorités birmanes poussèrent quelque 700 000 Rohingyas à fuir au Bangladesh voisin.
Lire – Rohingyas : femmes violées, vagins ravagés, pogroms méthodiques
Entassés dans des camps qui s’étalent à perte de vue, ces réfugiés survivent tant bien que mal. Parmi eux, une majorité d’enfants, auxquels s’est intéressé l’Agence France Presse (AFP).
L’éducation formelle n’est pas autorisée dans les camps de réfugiés de la minorité musulmane rohingya car cela suggérerait une présence permanente. Pour de nombreux enfants, les madrassas sont la seule possibilité de recevoir une instruction.
[…]
Les madrassas et mosquées de la minorité musulmane profondément conservatrice ont été incendiées dans la campagne de répression menée par l’armée birmane et des gangs bouddhistes.« Mais de nombreux enseignants de madrassas ont survécu et ont fui au Bangladesh , où ils ont ouvert des écoles dans les camps afin que la nouvelle génération puisse se nourrir de notre culture et de notre religion ».
Pour lire l’article dans son intégralité, cliquez sur le lien suivant : Les madrassas, lieu de paix et de prière pour les enfants rohingyas.