© Matthew Straubmuller
Non, le titre n’est pas racoleur, même s’il en a tout l’air et qu’il rappelle les promesses bidons de charlatans du marketing et autres guérisseurs escrocs qui promettent la lune à des personnes désespérés.
Dès ce soir, à partir de la prière du maghrib, nous entamons la 27e nuit de ramadan, laquelle peut s’avérer être la nuit du destin. Pour l’occasion, nous aimerions vous inviter à regarder, que vous l’ayez déjà visionnée ou non, la vidéo ci-après.
La nuit du Destin dans le Coran
Au nom d’Allah, le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux.
1. Nous l’avons certes fait descendre (le Coran) pendant la nuit d’Al-Qadr.
2. Et qui te dira ce qu’est la nuit d’Al-Qadr ?
3. La nuit d’Al-Qadr est meilleure que mille mois.
4. Durant celle-ci descendent les Anges ainsi que l’Esprit, par permission de leur Seigneur pour tout ordre.
5. Elle est paix et salut jusqu’à l’apparition de l’aube.Coran, Sourate 97
Soyez attentifs. Vous devriez vous souvenir longtemps de la leçon puissante que Majed Mahmoud nous livre. Il nous offre des perles de connaissances et des clés qui nous permettront, par la grâce d’Allah, de bouleverser notre vie pour le meilleur ici-bas et dans l’Au-delà.
Le prédicateur s’exprime certes en anglais, mais la vidéo a été sous-titrée en français par Darifton et compagnie.
Invoquons, prions, lisons le Coran, donnons (en ligne aux mosquées en difficulté du fait du confinement ou aux nécessiteux via des association sûres). Et surtout récitons encore et encore cette invocation : « Ô Allâh ! Tu es indulgent, Tu aimes le pardon : fais-moi grâce ! » « Allâhumma innaka ‘afuwwun tuhibbul ‘afwa fa’fu ‘anni. »
Visitez le site de Majed Mahmoud : http://www.majedmahmoud.com.
السلام عليكم
Merci bien pour cette vidéo intéressante et rythmée qui donne envie de s’y mettre.
Je remarque que les anglophones traduisent correctement « layt-ul-qadr » en « night of power », ce qui donnerait en français « la nuit de la puissance » (ou plus précisément « nuit de la valeur » ou « de la grandeur »).
Nous continuons à perpétuer l’erreur des premiers traducteurs du Coran qui on confondu qadar (destin) et qadr (valeur).