Selon l’agence de presse Reuters, citant des données officielles du gouvernement saoudien, le secteur du hajj et de la umrah rapporte chaque année à l’Arabie saoudite 10,6 millards d’euros (12 milliards de dollars) par an. En 2013, selon le quotidien saoudien Arab News, ces revenus atteignaient 14,7 milliards (16,5 milliards de dollars).
Cette baisse s’explique par une autre baisse, celle du nombre de pèlerins passé de 3 161 573 en 2012 à 1 980 249 en 2013 ; soit 20 % de moins, conséquence directe des nombreux chantiers qui transforment La Mecque depuis maintenant douze ans.
En 2017, des experts prévoyaient que hajj et umrah pourraient rapporter dès 2022 150 milliards de dollars au royaume.
Lire – Hajj revenues poised to exceed $150bn by 2022: Experts
Entre-temps, le Covid-19 a complètement rebattu les cartes au point de perturber d’ores et déjà sévèrement l’économie saoudienne, dont le plan Vision 2030 et ses 30 millions de pèlerins à l’horizon 2030.
Il faut surtout regarder ce que cela rapporte en Hassanats, tant aux différents acteurs saoudiens du Hajj (roi, gouvernement, employés), mais aussi aux pèlerins.
Dans ce domaine, il n’y a aucune diminution, car Allah rétribue une action de la même façon en temps d’empêchement qu’en tant normal.
Cela concerne aussi les personnes qui avaient l’intention d’aller à Maccah, mais qui n’ont pas pu cette année.
Notre divinité, Allah, est Le Juste et Le Généreux.
C’est pourquoi, Il est le Seul à mériter l’Adoration.