« L’étonnante santé du marche halal en France », c’est le titre du reportage de Mounia Daoudi, journaliste pour RFI. Vous pourrez y entendre entre autres un employé de l’entreprise Corico, qui commercialise les produits Médina Halal, le responsable de Halaldom et celui du restaurant l’Alambra, ainsi que le directeur commercial de l’association de certification AVS.
Hormis une confusion fâcheuse, mais répandue, le reportage est de bonne facture. Cette confusion, c’est celle qui veut qu’il y ait autant de définitions du halal que d’organismes de certification. Ce qui est faux. Tout le monde est d’accord, à quelques nuances près, sur ce qu’il faut entendre par halal. L’apparente divergence n’est en fait que l’incessante rivalité entre les organismes de certification, rivalité alimentée par la mainmise des trois grandes mosquées, seules habilitées par l’État à délivrer des cartes de sacrificateurs.
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Pour les produits Medina halal il y a un petit hic car meme aujourd’hui je passe chez mon boucher et je vois la terrine de chez Corico a base de dinde et gras de veau .Au salon halal Corico nous revele que le veau vient de Hollande et que le veau est assomméé puis egorgée .Il faut rappeler que Corico est certifié mosquee evry mais il ya aucune mention par rapport aux betes assomées puis egorger ou le contraire par contre il y a bien la mention dans le cahier des charges de ** Le calme, des sujets à égorger, provoqué par l’électronarcose est toléré, du moment que ce procédé ne provoque pas la mort***
Le consommateur musulman devrait avoir ce type d’information sur le paquet pour pouvoir juger dommage, sinon pour la dinde Corico n’utilise pas l’electronarcose mais l’electrochoc apres abattage et il y a moyen de visiter l’abattoir quand on veut.