Même si le marché des consommateurs musulmans n’est pas encore complètement mature – on parle encore de « marché non structuré » -, il évolue. La communication, encore parent pauvre de l’entrepreneur musulman, commence timidement à être prise en contact dans la stratégie de développement de certaines sociétés, qui n’hésitent plus à investir pour se faire connaître de leur cible. A l’instar des affiches 4 par 3 vues cet été en région parisienne, l’une du restaurant The Grill House, l’autre de l’enseigne Maklacenter, qui n’en est pas à sa première.
asSalamu alaykum,
al hamdouliLlah mais est-ce qu’un entrepreneur musulman sera toujours associé au domaine de l’alimentation ? N’avons nous pas d’autres potentiels et compétences que la restauration :/