Hajj. Un retraité tchétchène de 63 ans a relié son village à La Mecque, en Arabie Saoudite, via Bagdad, sur sa bicyclette bringuebalante, parcourant près de 12.000 kilomètres en dix semaines.
« C’était une route très difficile, je ne conseillerais à personne de le faire, » a déclaré à Reuters DJanar-Aliev Magomed-Ali dans sa maison d’Ourous Martan, à 30 kilomètres de Grozny, capitale de la Tchétchénie.
Son itinéraire l’a conduit, entre autres, à Bakou (Azerbaïdjan), à Téhéran, à Damas et à Jérusalem. Mais l’Irak a été une des étapes les plus difficiles. Il raconte que des soldats américains l’ont retenu parce qu’il n’avait pas de visa d’entrée et ont jeté son vélo à terre.
Magomed-Ali est, comme la majorité des Tchétchènes, musulman. Chaque musulman en bonne santé est censé faire le hajj, le pélerinage à La Mecque, au moins une fois dans sa vie.
L’idée du pèlerinage à vélo vient de sa mère, qui, a-t-il expliqué, lui a dit dans un rêve de faire le hajj. « Je lui ai répondu que je ne pouvais pas parce que je n’avais pas de moyen de locomotion pour y aller », a-t-il dit. « Elle m’a répondu que j’avais un vélo et que je devais m’en servir ».
C’est une bonne lecon de courage et de perseverance, un exemple de determination, ce net pas un idiot qui fait du velo pour une marque de velo , sa un vrais sens son action (je ne suis pas croyant). Europe ou Amérique, on a bien du souci, on se prend pour un civilisation ouverte d’esprit… pourriture de soldat ki jette le velo du vieux…
salut ,
je rend un hommage à ce monsieur et mille hommage à sa maman .
un seul mot pour decrire cette situation : MACHAALLAH