Manuel Valls a commandité en toute impunité des milliers de perquisitions dont une majorité contre des musulmans innocents. Le Premier ministre les savait au-dessus de tout soupçon.
Mercredi 16 décembre, un député controversé a évoqué à l'Assemblée nationale une "gangrène islamique" sans susciter la moindre réaction. Manuel Valls approuva son propos.